• Français
    • English
  • Français 
    • Français
    • English
  • Login
View Document 
  •   Savoirs UdeS Home
  • Lettres et sciences humaines
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires
  • View Document
  •   Savoirs UdeS Home
  • Lettres et sciences humaines
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires
  • View Document
JavaScript is disabled for your browser. Some features of this site may not work without it.

Browse

All of Savoirs UdeSDomains & CollectionsBy Issue DateAuthorsTitlesSubjectsDirectorsThis CollectionBy Issue DateAuthorsTitlesSubjectsDirectors

My Account

Login

Statistics

View Usage Statistics

Le Parti Québécois, entre participation et centralisation : institutionnalisation d’une culture politique à travers les congrès de 1968 à 1984.

Thumbnail
View/Open
Corriveau_Maxime_MA_2016.pdf (997.1Kb)
Publication date
2016
Author(s)
Corriveau, Maxime
Subject
Parti québécois
 
Militantisme
 
René Lévesque
 
Indépendantisme
 
Nationalisme
 
Parti politique
 
Culture politique
 
Congrès
Show full document record
Abstract
L’histoire des partis politiques canadiens et québécois semble avoir peu intéressé les historiens. En conséquence, la vie de ces organisations politiques complexes échappe encore à ce jour aux connaissances de la science historique. L’évolution de l’histoire politique, autrefois généralement axée presqu’exclusivement sur les grands hommes d’État, ouvre toutefois de nouvelles perspectives pour aborder ces organisations et c’est à travers la perspective de la culture politique que nous avons abordé le Parti Québécois, en nous intéressant plus particulièrement aux différentes luttes internes pour le contrôle de son orientation. Pour cibler cette culture politique, nous nous sommes attardés principalement au déroulement des neufs congrès nationaux prenant place sous le mandat de René Lévesque à la tête du parti, soit de 1968 à 1985. Nous abordons à travers cette étude l’évolution du rôle des militants, du programme, des structures, ainsi que la dynamique entre les principaux organes qui dirigent le parti (conseil exécutif, conseil national, aile parlementaire). Nous suggérons que malgré les apparences que lui confèrent ses statuts novateurs et démocratiques lors de sa fondation en 1968, le Parti Québécois n’a jamais réellement été ce qu’une partie de ses fondateurs et adhérents auraient souhaité. Nos conclusions tendent à démontrer que le parti n’a jamais été le regroupement démocratique et dirigé largement par ses membres que plusieurs ont essayé de créer initialement, mais que ses dirigeants, au contraire, ont tenté constamment à travers le temps de contrôler l’enthousiasme de ses membres, de contenir leurs « déviations » idéologiques en plus d’aller parfois contre leurs convictions, pourtant ratifiées par des congrès démocratiques. Il va sans dire également que René Lévesque a joué un rôle important dans cette opposition constante et parfois paradoxale, entre la base et le sommet du parti.
URI
http://hdl.handle.net/11143/9811
Collection
  • Moissonnage BAC [4107]
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires [2378]

DSpace software [version 5.4 XMLUI], copyright © 2002-2015  DuraSpace
Contact Us | Send Feedback
 

 


DSpace software [version 5.4 XMLUI], copyright © 2002-2015  DuraSpace
Contact Us | Send Feedback