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La formule coopérative est-elle un obstacle ou un atout à la capitalisation de l'organisation ?

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Quintal_Michel_MSc_2002.pdf (25.09Mb)
Publication date
2002
Author(s)
Quintal, Michel
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Abstract
Le financement des entreprises est au coeur, non seulement de la croissance des entreprises capitalistes classiques, mais aussi des entreprises coopératives. La création d'une entreprise nécessite des avoirs ou des fonds propres qui représentent les capitaux permanents donnant l'existence à l'entreprise. L'entreprise a aussi besoin de fonds propres pour sa croissance et son développement, car sa vigueur et sa force en dépendent. Généralement, plus la base des avoirs de l'entreprise est solide, meilleure sera sa santé financière et moins celle-ci est susceptible d'être affectée par les fluctuations économiques et les variations des taux de rendements. L'entreprise avec peu de capitaux propres peut alors vivre plus difficilement des difficultés causées par des erreurs de gestion ou de conditions économiques défavorables. Contrairement aux entreprises capitalistes classiques, les avoirs des coopératives (généralement les parts sociales ou de qualification) ne sont pas rémunérées. Pourtant, pour la formule d'entreprise coopérative, le phénomène de sous-capitalisation est souvent considéré comme le maillon faible, car les membres ont généralement tendance à investir peu dans la capitalisation et ce pour différentes raisons : peu de retour sur investissement à cause du principe d'intérêt limité sur le capital investi; parts sociales peu cher alors que l'utilisation de la coopérative est illimitée...
URI
http://hdl.handle.net/11143/8325
Collection
  • IRECUS – Essais [189]

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