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Évaluation des méthodes semi-numérique et numérique pour la mise à jour de la carte topographique à l’échelle du 1/50 000 à partir des données de télédétection

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Lahoussine_Aquede_MSc_1993.pdf (7.470Mb)
Date de publication
1993
Auteur(s)
Lahoussine_Aquede
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Résumé
La mise à jour de la carte topographique à l’échelle du 1/50 000 peut être assurée d’une manière systématique et périodique par les méthodes semi-numérique et numérique à partir des données de télédétection. Dans ce cadre, cette étude vise à évaluer la pertinence de ces deux méthodes pour la mise à jour de ce type de carte à partir des images SPOT aux niveaux de la précision, du contenu, du temps et du coût. La méthode semi-numérique comporte deux cas. Le premier dit “semi-numérique non rigoureuse” est basé sur les images SPOT (panchromatique et multispectrale de 1987) corrigées avec un polynôme du second degré (forme analogique). Le second dit “semi-numérique rigoureuse” utilise l’ortho-image intégrée (forme analogique) produite à partir des mêmes images que le premier cas à l’aide du système de rectification d’images de télédétection “SRIT”. La méthode numérique exploite l’ortho-image intégrée (forme numérique) produite à l’aide du SRIT. La mise à jour de la carte topographique à l’échelle du 1/50 000 de 1979 (Feuillet de Sherbrooke-Coaticook) a été effectuée à partir des données SPOT (panchromatique du 20-06-1987 et multispectrale du 02-08-1987) par ces méthodes. La méthode semi-numérique “non rigoureuse” exploite les images corrigées à l’aide de l’autoprojecteur PROCOM-2 pour extraire les nouveaux éléments topographiques. Ces derniers sont tracés directement sur une copie (acétate) de la carte existante. Une fois [que] tous les changements sont apportés, on obtient la carte mise à jour (forme analogique). La méthode semi-numérique “rigoureuse” utilise l’ortho-image en procédant de la même manière que le cas précédent. La méthode numérique exploite l’ortho-image pour mettre à jour le fichier numérique de représentation “FNR” créé par la numérisation des planches mères de la carte existante. Cette mise à jour s’effectue par l’extraction manuelle à l’écran des détails en superposant le FNR à l’ortho-image. Le FNR ainsi mis à jour est appelé le fichier numérique de position “FNP” (forme numérique). Mis à part les éléments fins et les détails ponctuels, le contenu obtenu par la méthode semi-numérique (dans les deux cas) est comparable à celui obtenu par la méthode numérique. La méthode semi-numérique “non rigoureuse” est rapide (29%) et économique (50%) par rapport à la méthode numérique. Mais avec la précision de 73 m, elle est loin de répondre aux standards de précision de la cartographie à l’échelle du 1/50 000. La méthode semi-numérique “rigoureuse” permet une réduction des délais de 15% et du coût de 29% par rapport à la méthode numérique. La précision de 31 m obtenue n’est pas conforme aux normes de la carte à l’échelle du 1/50 000 “Classe A” (25 m) mais, elle est largement suffisante pour la mise à jour de la “Classe B” (50 m). La méthode numérique s’avère longue et onéreuse par rapport à la méthode semi-numérique. Cependant, elle s’impose par sa précision (14,91 m) qui répond aux tolérances de la carte à l’échelle du 1/50 000 “Classe A”. Dans le cas de la méthode semi-numérique, l’apport de quelques modifications à la logistique (remplacer la table de travail de l’autoprojecteur PROCOM-2 par une table de numérisation et améliorer le grossissement et la mise au point de l’objectif) pourrait sans doute conduire à des résultats meilleurs. La méthode numérique devient plus intéressante une fois la base de données topographiques établie. En effet le délai et le coût seront respectivement réduits d’environ 12% et 30%.
URI
http://hdl.handle.net/11143/7869
Collection
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires [2271]

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