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dc.contributor.advisorOlivier, Éricfr
dc.contributor.authorComtois, Nicolefr
dc.date.accessioned2015-07-21T20:04:17Z
dc.date.available2015-07-21T20:04:17Z
dc.date.created2013fr
dc.date.issued2013fr
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11143/7117
dc.description.abstractL’objectif principal de cet essai est de démontrer la pertinence et la faisabilité du projet La Forêt qui marche, une démarche visant la valorisation d’arbres et d’autres végétaux prélevés sur les terrains voués au déboisement. Lors d’opérations de déboisement, on se préoccupe peu de la végétation résiduelle laissée sur place après que les arbres ayant une valeur commerciale aient été prélevés. Les terrains sur lesquels se trouve cette végétation constituent pourtant des réservoirs potentiels importants d’arbres et de végétaux indigènes pouvant être récupérés et intégrés à divers aménagements. La problématique du déboisement, entraînant entre autres, la disparition de nombreux habitats et provoquant une perte irréversible de biodiversité est à l’origine du désir de réemployer ces végétaux indigènes. Le portrait du phénomène de déboisement à l’échelle mondiale et locale a établi l’importance des superficies disponibles pour effectuer les prélèvements d’arbres et végétaux pouvant être réemployés. La pertinence de mettre en oeuvre ce projet de valorisation a été démontrée par les diverses utilisations possibles pour leur réemploi et les nombreux bénéfices environnementaux, sociaux et économiques pouvant en être dégagés. L’identification des acteurs de la mise en oeuvre de la démarche préconisée par La Forêt qui marche, les propriétaires et le public, a conduit à l’élaboration de plusieurs recommandations permettant d’en assurer la faisabilité et la reproductibilité. Certaines recommandations ont également été émises afin de maximiser les chances de survie des arbres et végétaux récupérés et réemployés. Les initiatives déjà entreprises dans le cadre de cet essai ont permis de faire la preuve que les idées qui y sont développées sont applicables et qu’il est pertinent et faisable de poursuivre le projet La Forêt qui marche.fr
dc.language.isofrefr
dc.publisherUniversité de Sherbrookefr
dc.rights© Nicole Comtoisfr
dc.subjectDéboisementfr
dc.subjectDéforestationfr
dc.subjectRessource forestièrefr
dc.subjectPlantation d’arbresfr
dc.subjectVégétalisationfr
dc.subjectForêtfr
dc.subjectPlantes indigènesfr
dc.subjectBiens et services écologiquesfr
dc.subjectServices ontogéniquesfr
dc.titleLa forêt qui marche : projet de valorisation d'arbres et d'autres végétaux provenant de terrains voués au déboisementfr
dc.typeEssaifr
tme.degree.disciplineEnvironnement et développement durablefr
tme.degree.grantorCentre universitaire de formation en environnement et développement durable (CUFE)fr
tme.degree.levelMaîtrisefr
tme.degree.nameM. Env.fr


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