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Une nouvelle méthode d'épidémiologie moléculaire pour le chlamydia trachomatis : le multi locus sequence typing

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Menard_Isabelle_MSc_2011.pdf (4.190Mb)
Publication date
2011
Author(s)
Ménard, Isabelle
Subject
Séquençage
 
PCR
 
Épidémiologie
 
MLST
 
Chlamydia
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Abstract
Les Chlamydiaceae sont une famille de bactéries relativement récente dans la systématique microbienne. Deux bactéries sont principalement associées à des pathologies de l'homme, soit Chlamydia trachomatis et Chlamydophila pneumoniae. C. trachomatis est la première maladie à déclaration obligatoire au Québec et l'infection sexuellement transmissible (ITS) le plus fréquemment rencontré dans le monde. Mon projet consistait au développement d'une méthode de"Multi Locus Sequence Typing" (MLST) pour C. trachomatis à partir d'isolats cliniques, sans passer par la culture cellulaire, et ce grâce au PCR (réaction en chaîne de la polymérase) multiplex niché. L'objectif ultime de cette technique est de mieux connaître l'épidémiologie de la bactérie, pour pouvoir comprendre la résistance et la persistance aux antibiotiques et l'origine géographique commune, par exemple. Outre les 15 isolats de référence, 115 isolats d'origines diverses (38 ITS de l'Estrie, 54 ITS de l'Afrique et 22 trachomes de l'Afrique) ont été testés par PCR multiplex niché puis séquencés. Globalement, les 130 isolats se séparent en 29 séquences-types différentes, dont 17 ne sont retrouvées qu'une seule fois. Ces STs se regroupent en 4 complexes clonaux distincts. De plus, les isolats sont séparés selon le type d'infection qu'ils causent, soit l'ITS, le trachome ou la lymphogranulomatose vénérienne. Dans son ensemble, l'évaluation de la pertinence et de la qualité de la nouvelle technique MLST montre une force discriminatoire de 90,1%, qui est dans les normes de qualité pour une technique d'épidémiologie moléculaire. Un index d'association de 3,809 pour le schéma complet est trouvé, et un de 2,447 lorsque le calcul est refait avec un exemplaire de chaque ST seulement, indiquant une population clonale forte. Finalement, un ratio d[indice inférieur N]/d[indice inférieur S] variant entre 0.145 et 0.773 pour les gènes choisis pour le schéma MLST démontre que les gènes sélectionnés ne sont pas soumis à une pression de sélection positive. Toutes ces données tendent à prouver que le nouveau schéma MLST est une technique discriminante, qui va permettre de faire des liens épidémiologiques intéressants pour C. trachomatis. De plus, au cours de ce projet, des analyses de certains isolats de C. trachomatis ont montré des caractéristiques nouvelles au niveau du génotype ompA.Les 22 isolats de trachome de la Tanzanie (Afrique) ainsi que 5 isolats ITS des Îles Comores ont cette particularité. Il s'agit selon la séquence d'un génotype A variant. Des analyses supplémentaires restent à faire pour caractériser complètement le génotype.
URI
http://hdl.handle.net/11143/5557
Collection
  • Médecine et sciences de la santé – Mémoires [1782]

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