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Le suppresseur du silencing, P19, agit comme un nouveau genre d'éliciteur des réponses de défense

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MR37890.pdf (4.843Mb)
Publication date
2006
Author(s)
Langlois, Mathieu
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Abstract
Il existe une multitude d'agents pathogènes qui s'attaquent aux plantes supérieures. Ne pouvant se déplacer, les organismes végétaux ont développé d'autres moyens de se défendre contre ces petits organismes. Pour ce faire, les plantes ont évolué de manière à identifier leurs agresseurs et à mettre en place les barrières les plus appropriées. Parmi ces barrières, on compte plusieurs mécanismes de défenses: la réponse hypersensible (RH), l'accumulation de protéines reliées aux pouvoirs pathogènes (protéines PR), la production de métabolites secondaires antimicrobiens, le renforcement de la paroi cellulaire, l'ARN silencing, etc. Plus particulièrement, l'ARN silencing cible principalement les virus. Le silencing dégrade l'ARN du virus court-circuitant son cycle d'infection. Pour faire face à ce moyen de défense, les virus ont reconverti certaines de leurs protéines en suppresseur de silencing. Parmi ces protéines à nouveaux usages, il y la P19: une protéine issue de plusieurs membres de la famille des tombusvirus. Cette protéine se dimérise et séquestre les siARN engendrés par le silencing. Ce travail montre que chez Nicotiana tabacum , la dimérisation de la protéine P19 et son association avec un siARN engendrent une réaction de défense. Le fait de montrer la capacité d'une plante à reconnaître un suppresseur de silencing via la liaison des siARN est une première. De plus, la P19 induit une réaction hypersensible (RH) ainsi qu'une accumulation d'acide salicylique, de certaines protéines PR et de métabolites secondaires autofluorescentes. Par ailleurs, en utilisant certains inhibiteurs de RH, AvrPtoB et P35, nous avons montré que l'accumulation des métabolites secondaires est le résultat d'une cascade d'activations distinctes de celle de la RH.
URI
http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/4743
Collection
  • Sciences – Mémoires [1657]

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