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dc.contributor.advisorHébert, Pierrefr
dc.contributor.authorMasse, Marie-Claudefr
dc.date.accessioned2014-05-15T17:52:17Z
dc.date.available2014-05-15T17:52:17Z
dc.date.created2010fr
dc.date.issued2010fr
dc.identifier.isbn9780494656518fr
dc.identifier.urihttp://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/2635
dc.description.abstractIndéniablement"fille de son temps", force médiatrice entre l'imaginaire et le social, la littérature ne peut être dissociée des grandes idéologies - ou courants de pensée -, qui caractérisent son époque. Le roman de la route, qui se manifeste au Québec principalement depuis la décennie 1960, possède la capacité de présenter un état du monde complexe pour une raison évidente : reposant sur le thème de la rencontre , il met de l'avant une pluralité de voix qui s'entrechoquent fournissant, ainsi, une prise de parole sur une société donnée. Véritable catalyseur de consciences plurielles et ennemi de la pensée univoque, le roman de la route apparaît comme le genre pouvant le mieux (trans)figurer les discours culturels, sociaux et politiques de son époque. L'actuelle fascination pour l'Autre et l'ailleurs permet en outre de croire que le roman de la route, que d'autres nomment le récit de voyage fictif, tend à devenir une pratique courante dans l'univers littéraire. La question que pose ce mémoire est donc celle-ci : à la suite d'une présence marquée de la place de l'intime et des préoccupations plus personnelles dans la littérature depuis principalement vingt-cinq ans, et dont la plus fidèle représentante est sans doute l'autofiction, est-il juste de pressentir un certain retour du politique dans le genre romanesque? Et si oui, peut-on considérer le roman de la route comme un discours littéraire permettant la représentation du politique? Trois études permettent de mesurer le poids politique du roman de la route à travers l'analyse de thèmes bien ancrés dans le discours social actuel, soient l'environnement, les questions du commerce - et plus largement la mondialisation -, ainsi que la migration. Le joueur de flûte de Louis Hamelin (2001), La logeuse d'Éric Dupont (2006) et La conjuration des bâtards de Francine Noël (1999) servent de support à cette analyse qui vise avant tout à une réflexion sur l'espace et le discours politique que permet le roman de la route.fr
dc.language.isofrefr
dc.publisherUniversité de Sherbrookefr
dc.rights© Marie-Claude Massefr
dc.subjectÉric Dupontfr
dc.subjectLouis Hamelinfr
dc.subjectFrancine Noëlfr
dc.subjectSociocritiquefr
dc.subjectÉcocritiquefr
dc.subjectLittérature et politiquefr
dc.subjectVoyage dans la littératurefr
dc.subjectRoman de la routefr
dc.titleLe voyage engagé pour une lecture politique du roman de la route actuel québécoisfr
dc.typeMémoirefr
tme.degree.disciplineLettres et littératurefr
tme.degree.grantorFaculté des lettres et sciences humainesfr
tme.degree.levelMaîtrisefr
tme.degree.nameM.A.fr


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