• Français
    • English
  • Français 
    • Français
    • English
  • Se connecter
Visualiser le document 
  •   Accueil de Savoirs UdeS
  • Lettres et sciences humaines
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires
  • Visualiser le document
  •   Accueil de Savoirs UdeS
  • Lettres et sciences humaines
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires
  • Visualiser le document
JavaScript is disabled for your browser. Some features of this site may not work without it.

Parcourir

Tout Savoirs UdeSDomaines et collectionsDates de publicationAuteursTitresSujetsDirecteursCette collectionDates de publicationAuteursTitresSujetsDirecteurs

Mon compte

Se connecter

Statistiques

Voir les statistiques d'utilisation

Dans le sillage de la crise, les traces d'une féminité qui cherche à se dire étude du Ravissement de Lol V. Stein de Marguerite Duras suivi de Les heures rouges, recueil de récits

Thumbnail
Visualiser/Ouvrir
MR37871.pdf (1.880Mb)
Date de publication
2007
Auteur(s)
Giguère, July
Afficher la notice détaillée
Résumé
Ce mémoire a pour objectif principal une exploration en deux temps (volets réflexif et créatif) de la problématique de l'être en crise. La première partie présente une étude de la question de la crise en lien avec celle de l'identité au féminin dans Le ravissement de Lol V. Stein de Marguerite Duras, un roman qui paraît en 1964 chez Gallimard. Cette section du mémoire se divise en deux chapitres, Lol, entre silence et cri et La traversée du désert entre elle, et les autres , et s'intéresse aux différentes étapes qui jalonnent le parcours de la crise/quête identitaire que traverse Lol, l'héroïne du roman. La partie créative du mémoire s'attache également à la problématique de l'être en crise puisqu'elle présente un recueil d'une trentaine de récits brefs et de fragments, Les heures rouges , qui mettent en scène des personnages confrontés à ces moments de l'existence où les certitudes basculent, semblables à celui que connaît l'héroïne du Ravissement. Dans ces textes, l'angoisse et la dépossession se disent, comme chez Duras, notamment par la passivité -une passivité qui, par moments, devient si grande qu'elle laisse l'être en proie au doute, ce qui est imagé aussi par la décomposition du corps- et par une écriture en quelque sorte hachurée, dont la ponctuation et la syntaxe cherchent à rendre les arythmies du coeur et soubresauts de la conscience.
URI
http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/2542
Collection
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires [2267]

DSpace software [version 5.4 XMLUI], copyright © 2002-2015  DuraSpace
Communiquer avec nous | Envoyer des commentaires
 

 


DSpace software [version 5.4 XMLUI], copyright © 2002-2015  DuraSpace
Communiquer avec nous | Envoyer des commentaires