Show simple document record

dc.contributor.advisorHutchinson, Marlène
dc.contributor.authorTremblay, Annabellefr
dc.date.accessioned2022-07-04T18:11:22Z
dc.date.available2022-07-04T18:11:22Z
dc.date.created2022fr
dc.date.issued2022-07-04
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11143/19322
dc.description.abstractDepuis plusieurs décennies, l’utilisation des plastiques devient de plus en plus importante dans la société actuelle. En effet, les plastiques ont de multiples usages et avantages, ce qui explique pourquoi ils sont utilisés dans une panoplie de domaines d’activités. Toutefois, les infrastructures de gestion des matières résiduelles ne se sont pas développées aussi rapidement que le marché des plastiques. La mauvaise gestion des matières résiduelles plastiques qui en résultent favorise grandement les rejets des plastiques dans les milieux naturels comme les océans. Au fil du temps, ces rejets ont créé des continents de plastique, soit cinq zones d’accumulation importante dans les océans Atlantique, Pacifique et Indien. En réponse à cette pollution, des mesures, des documents législatifs et des technologies sont mises en place dans le but de limiter les conséquences sur l’environnement et les organismes en plus de réduire la quantité de plastique présente dans les océans. Cet essai a comme objectif d’évaluer laquelle des technologies analysées est la meilleure pour régler le problème de la pollution de plastique dans l’océan Pacifique Nord. Les technologies choisies pour l’analyse multicritère sont : le System 002 de l’Ocean Cleanup Project, le Mr. Trash Wheel, le WasteShark et le Great Bubble Barrier. Ces technologies ont été évaluées selon quatre dimensions : environnementale, sociale, économique et technique. Les résultats de cette analyse ont permis de constater qu’entre ces quatre technologies étudiées, c’est le Great Bubble Barrier qui est la technologie la plus adéquate pour régler le problème de la pollution de plastique dans l’océan Pacifique Nord. À la suite de cette analyse, plusieurs recommandations sont proposées, notamment l’amélioration de la gestion des matières résiduelles actuelle, l’adoption du principe de réduction à la source, l’interdiction d’exporter des matières résiduelles vers des pays en développement ainsi que des changements dans la façon de concevoir les produits de consommation. Une autre recommandation est de privilégier une économie circulaire au lieu d’une économie linéaire de plastiques. De plus, l’établissement de standards et de protocoles précis lors des analyses et des suivis des plastiques permettrait de développer les connaissances sur les types, les tailles ainsi que la distribution des plastiques dans les océans. Également, l’éducation et la sensibilisation auprès de la population globale sont des aspects très importants à développer dans le but de favoriser un changement de mentalité au niveau des habitudes de consommation par exemple. Cependant, pour constater des résultats significatifs et durables à long terme, il est indispensable que ces solutions ne soient pas appliquées seules.fr
dc.language.isofrefr
dc.publisherUniversité de Sherbrookefr
dc.rights© Annabelle Tremblayfr
dc.rightsAttribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.5 Canada*
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/ca/*
dc.subjectPlastiquefr
dc.subjectPollutionfr
dc.subjectTechnologiefr
dc.subjectMicroplastiquefr
dc.subjectMacroplastiquefr
dc.subjectOcéansfr
dc.subjectPacifique Nordfr
dc.subjectContinent de plastiquefr
dc.titleÉvaluation des technologies mises en place pour résoudre la pollution de plastique dans l'océan Pacifique Nordfr
dc.typeEssaifr
tme.degree.disciplineEnvironnement et développement durablefr
tme.degree.grantorCentre universitaire de formation en environnement et développement durable (CUFE)fr
tme.degree.levelMaîtrisefr
tme.degree.nameM. Env.fr


Files in this document

Thumbnail
Thumbnail

This document appears in the following Collection(s)

Show simple document record

© Annabelle Tremblay
Except where otherwise noted, this document's license is described as © Annabelle Tremblay