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L'influence de la méthode de finition et de la méthode de mûrissement sur la résistance à l'écaillage des BHP formulés avec un rapport E/L de 0,30

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Latreille_Yvon_MScA_1995.pdf (13.40Mb)
Date de publication
1995
Auteur(s)
Latreille, Yvon
Sujet(s)
Béton à hautes performances
 
Matériaux à basses températures
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Résumé
L'influence de la méthode de finition et de la méthode de mûrissement sur la résistance à l'écaillage a été étudiée sur une catégorie bien précise de bétons à haute performance (BHP) avec et sans air (ciment type 10, E/L=0,30). Pour une vision plus globale de l'influence de la finition et du mûrissement, les BHP ont été formulés en créant deux catégories d'affaissement (100 et 200 mm), en utilisant une fumée de silice (0 et 10%), et dans certains cas, un retardateur de prise. Parce que l'écaillage est un phénomène qui agit sur le premier millimètre du béton, des essais d'absorption, de perméabilité aux ions chlore, d'abrasion mécanique et de microscopie ont été réalisés systématiquement sur tous les mélanges de béton durcis pour caractériser la surface. Bien qu'il soit possible de produire un BHP sans air avec un rapport E/L de 0,30 qui puisse être durable aux cycles d'écaillage, les connaissances actuelles et les résultats obtenus dans cette étude démontrent que ce ne sont pas tous les BHP sans air de cette catégorie qui ont de bonnes résistances à l'écaillage. Chaque BHP doit alors être étudié individuellement. Pour obtenir une meilleure assurance qu'un BHP puisse résister aux cycles d'écaillage, l'utilisation d'un agent entraîneur d'air demeure le meilleur moyen d'y arriver. L'utilisation d'une membrane de mûrissement liquide améliore aussi significativement la résistance à l'écaillage des BHP comparativement au mûrissement dans l'eau. Les effets de la finition et de l'affaissement ont une influence secondaire mais mesurable sur la résistance à l'écaillage des bétons. L'utilisation d'un retardateur de prise combiné à un fort dosage en superplastifiant nuit considérablement à la résistance à l'écaillage. En contre partie, l'ajout de la fumée de silice améliore sensiblement la durabilité à l'écaillage et enraye les effets néfastes du retardateur de prise combiné à un fort dosage en superplastifiant. Les essais d'absorption, de perméabilité aux ions chlore et d'abrasion mécanique ne permettent pas de prédire la résistance à l'écaillage des bétons. Ils ont cependant permis de mesurer des caractéristiques forts intéressantes des influences produites par la fumée de silice, le retardateur de prise, la méthode de finition et l'affaissement. Les essais de microscopie, sans prédire le comportement à l'écaillage des bétons, ont tout de même fourni des informations intéressantes concernant la résistance à l'écaillage. Ainsi, le réseau de bulles d'air peut varier considérablement s'il est mesuré au coeur ou à la surface du béton. La quantité de pâtes hydratée à la surface n'influence pas significativement la résistance à l'écaillage mais a des influences sur l'absorption, la sorptivité et l'abrasion mécanique.
URI
http://hdl.handle.net/11143/17408
Collection
  • Génie – Mémoires [1940]

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