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Relation entre les différents facteurs des rythmes circadiens endogènes et la hiérarchie sociale chez le carouge à épaulettes (Agelaius phoeniceus)

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Brunet_Richard_MSc_1990.pdf (12.48Mb)
Publication date
1990
Author(s)
Brunet, Richard
Subject
Carouge à épaulettes
 
Rythmes biologiques
 
Physiologie
 
Rythmes circadiens
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Abstract
Les rôles des rythmes circadiens endogènes sont de plus en plus explorés. Certaines recherches ont démontré que la synchronisation sociale pouvait entraîner des pertes énergétiques importantes et pouvait maintenir, à elle seule, les rangs sociaux (Farr et Andrews, 1978). Bien que plusieurs recherches laissent présumer une relation entre le statut social et les rythmes circadiens endogènes, la preuve scientifique de cette relation n'a pas encore été démontré à notre connaissance. Notre but est de démontrer qu'il existe une relation entre des facteurs de la rythmicité circadienne et les rangs sociaux chez le carouge à épaulettes. Nous avons choisi la motricité des oiseaux comme indice d'activité, en comptant le nombre de déclenchements de perchoir par unité de temps. Afin d'obtenir une bonne précision avec un grand nombre d'oiseaux, nous avons développé un enregistreur d'événements permettant d'intégrer les données de plus de 60 oiseaux simultanément et les logiciels permettant une analyse statistique et graphique rapide et précise, grâce aux périodogrammes d'Enright (1965) et de Sokolove et Bushell (1978). Les résultats obtenus ont permis de mettre en évidence une relation entre le taux d'activité et le statut social, ainsi qu'entre la période et le statut social. D'autre part, certains résultats nous amènent à présumer que les individus dominants sont plus gros parce qu'ils sont dominants et qu'un contact physique complet entre les oiseaux d'un groupe favorise la synchronisation sociale entre eux.
URI
http://hdl.handle.net/11143/16499
Collection
  • Sciences – Mémoires [1742]

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