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dc.contributor.advisor[non identifié]
dc.contributor.authorMaestracci, Nicole
dc.date.accessioned2018-12-05T16:18:52Z
dc.date.available2018-12-05T16:18:52Z
dc.date.created1971
dc.date.issued1971
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11143/14436
dc.description.abstractUne souche de cellules dérivée d'une tumeur de hamster (C1?TSV?) a été rendue résistante à des doses de 1 à 4 µg/ml d'actinomycine D (C1?TSV?R???) par exposition continue à des doses croissantes de l'antibiotique. En plus d'un nucléole normal, des nucléoles en phase terminale de ségrégation nucléolaire se retrouvent chez les quatre lignées résistantes. Les courbes de croissance montrent un décalage chez la souche résistante par rapport à la souche sensible mais les pentes respectives demeurent sensiblement les mêmes. Chez C1?TSV?R? , l'incorporation d'uridine tritiée permet de démontrer la présence d'un RNA 45S intact et d'un nucléole fonctionnel. Le marquage nucléaire à la suite de l'incorporation d'actinomycine tritiée confirme la présence de l'actinomycine D (AMD) dans le noyau des cellules résistantes. La stabilité du complexe actinomycine-DNA est fortement perturbée par l'action de la pronase. Des expériences antérieures sur des lignées résistantes démontraient une imperméabilité cellulaire à l'antibiotique chez E. Coli, B. Subtilis et Hela. Dans le cas présent, la résistance est considérée comme le fruit d'une dérépression d'organisateurs secondaires et/ou d'une modification de la structure de la chromatine qui rend le DNA inaccessible a l'actinomycine D.
dc.language.isofre
dc.publisherUniversité de Sherbrooke
dc.rights©Nicole Maestracci
dc.titleÉtude d'une lignée cellulaire résistante à l'actinomycine D
dc.typeMémoire
tme.degree.disciplineBiologie cellulaire
tme.degree.grantorFaculté de médecine et des sciences de la santé
tme.degree.levelMaîtrise
tme.degree.nameM. Sc.


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