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dc.contributor.advisorBoulay, Pierre
dc.contributor.authorCocks, Marie-Helenfr
dc.date.accessioned2018-09-25T18:45:46Z
dc.date.available2018-09-25T18:45:46Z
dc.date.created2018fr
dc.date.issued2018-09-25
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11143/13607
dc.description.abstractLe diabète gestationnel (DG) est un type de diabète qui se développe durant la grossesse et ce dernier disparaît généralement lorsque la femme est à terme (Thompson et al., 2013). Un DG non contrôlé peut générer des conséquences graves pour la mère et l’enfant tel qu’une hypoglycémie néonatale, des traumatismes de naissances, une hémorragie post partum maternelle ainsi qu’une augmentation des risques d’obésité, de diabète de type deux, d’un syndrome métabolique et des maladies cardiovasculaires. Dans son rapport de 2017, la Fédération internationale du diabète (IDF) rapporte que 16,2 % des enfants sont touchés par une des conséquences d’un DG mal contrôlé. Ceci représente 21,3 millions d’enfants. Ainsi, une naissance sur six aura été touchée par une hyperglycémie maternelle lors de la gestation de ce dernier. Selon une revue de la littérature de 2015 (Padayachee et Coombes, 2015), il n’y avait toujours pas de recommandations claires en termes d’activité physique (AP) pour les femmes atteintes de DG. Donc, l’objectif de cet essai est de comparer le traitement conventionnel à une intervention structurée en activité physique et voir les répercussions positives au niveau de la grossesse et de la période post-partum. Ainsi, plusieurs variables d’intérêts ont été cherchées dans les bases de données afin d’avoir un essai regroupant toutes les informations étudiées à ce jour au niveau du contrôle glycémique, du gain de poids gestationnel, des complications associées au DG chez la mère et l’enfant et du type d’accouchement. Cet essai démontre que les interventions structurées d’activité physique de type aérobie aideraient les femmes à avoir un gain de poids gestationnel dans les normes établies par l’institut de Médecine (IOM) en 2009 tandis que l’entrainement en contre-résistance viendrait jouer davantage sur la quantité d’insuline nécessaire afin de mieux gérer la glycémie des femmes atteintes de diabète gestationnel. Pour ce qui est des autres variables, il n’y aurait pas de différence entre le traitement conventionnel et une intervention en activité physique. Les études sur cette thématique sont peu nombreuses et d’autres recherches devront être effectuées afin d’être en mesure d’établir des recommandations spécifiques chez cette population.fr
dc.language.isofrefr
dc.publisherUniversité de Sherbrookefr
dc.rights© Marie-Helen Cocksfr
dc.rightsAttribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.5 Canada*
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/ca/*
dc.subjectDiabète gestationnelfr
dc.subjectActivité physiquefr
dc.subjectContrôle glycémiquefr
dc.subjectAccouchementfr
dc.subjectSanté maternellefr
dc.subjectSanté de l'enfantfr
dc.subjectPériode postpartumfr
dc.titleImpact d’une prise en charge supervisée en activité physique sur différentes conséquences associées au diabète gestationnelfr
dc.typeEssaifr
tme.degree.disciplineSciences de l'activité physiquefr
tme.degree.grantorFaculté des sciences de l'activité physiquefr
tme.degree.levelMaîtrisefr
tme.degree.nameM. Sc.fr


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