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La pratique coopérative chez les paysans jamaïquains

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Tremblay_Germain_L_MSc_1985.pdf (73.58Mb)
Publication date
1985
Author(s)
Tremblay, Germain L.
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Abstract
La recherche initiale à laquelle se rattache ce mémoire de maîtrise, s'inscrit dans une optique beaucoup plus vaste que le seul aspect coopératif, bien que celui-ci en constitue un élément important. Débuté à la fin des années 70 par messieurs Jean Bencist (anthropologie, Université de Montréal) et Romain Paquette (géographie, Université de Sherbrooke), le projet "Sociétés en mutations" portait sur les petits exploitants agricoles de la Martinique et d'une dépendance de la Guadeloupe, Marie-Galante. La problématique sous-tendant cette recherche était de comprendre comment le petit exploitant percevait son environnement au niveau physique, socio-économique, politique et culturel. L'étude fut ensuite reprise en 1980-81 par Paquette, mais cette fois-ci dans un cadre élargi de façon à recueillir les perceptions de paysans de la Caraïbe anglaise. A cette occasion la problématique initiale fut repensée. Le petit paysan considéré comme un preneur de décision, un décideur, évoluait dans "un environnement perçu comme opprimant ou peu stimulant" (1). Cette nouvelle recherche menée à Ste-Lucie en 1981 et en Jamaïque en 1982, se basait sur l'hypothèse de l'existence de deux modèles d'utilisation du sol chez les paysans. D'abord un modèle écologique, postulant que le fermier, bien au courant de son milieu, poursuivra ses activités agricoles en respectant l'équilibre naturel de son environnement et de ce fait produira d'abord pour l'autoconsommation; et deuxièmement, un modèle économique prévoyant que le type d'agriculture pratiqué par le petit paysan, le sera en fonction de la possibilité de mise en marché des produits. De ce fait, le paysan restreindra la diversité de ses produits. Au premier modèle se rattachent les points du pays davantage éloignés des grands centres, tandis que le modèle économique touche plus de paysans vivant à proximité des grandes villes, l'influence des grands centres diminuant avec la distance. En plus des questions concernant les perceptions qu'avaient les paysans de leur environnement, une partie du questionnaire (cf. annexe 3) s'intéressait à la manière dont les petits fermiers menaient leurs activités agricoles. Dans ce but des questions relatives aux coopératives furent posées. Celles-ci cherchaient à expliquer ou à compléter le tableau des perceptions mises à jour. La masse de données qui en a résulté constitue cependant, à elle seule, UNE SOURCE INTERESSANTE DE RENSEIGNEMENTS SUR LA NATURE, LA FORME ET L'IMPORTANCE DE LA PRATIQUE COOPERATIVE EN JAMAÏQUE.
URI
http://hdl.handle.net/11143/13281
Collection
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires [2348]

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