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Limites des modèles de simulation générale d'entreprise

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Colasse_Patrice_MA_1973.pdf (22.00Mb)
Date de publication
1973
Auteur(s)
Colasse, Patrice
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Résumé
Les méthodes de simulations ouvrent des perspectives immenses à l'amélioration de la compréhension des phénomènes socio-économiques. De nombreux auteurs ont ressenti le besoin croissant de formaliser les processus qui régissent l'entreprise. Ainsi Forrester, Cyert et March, parmi d'autres, ont-ils voulu élaborer une méthodologie qui a pour but de contrôler le comportement d'un système grâce à la manipulation d'un modèle placé sous certaines conditions fixées par l'expérimentateur. Mais n'est-on pas tenté de demander trop d'information à de tels modèles? C'est le sujet de ce mémoire qui se propose de fixer les limites des modèles de simulation générale d'entreprise. La théorie cybernétique, appliquée à l'étude des organisations, nous permettra de donner à notre raisonnement une base scientifique. Elle mettra en évidence l'importance de la variable "créativité" qui interdit à ces modèles généraux d'entreprise de devenir des instruments de prévision à long terme. Cette approche normative ne peut tenir compte, du fait de la rigidité des structures du modèle, des phénomènes liés à l'innovation. Cependant l'expérimentation par modèle peut se révéler un aide précieux pour le gestionnaire désireux de tester ses décisions à court ou à moyen terme. Les mécanismes de prise de décisions se définissent en effet comme étant la sélection parmi deux ou plusieurs possibilités afin de réaliser les objectifs que s'est fixée l'organisation. Or le recours à des modèles généraux de simulation nous semble l'un des moyens les mieux adaptés. Bien sur la sélection finale restera du ressort du preneur de décision lui-même, qui jugera sur des critères non quantifiables (exemples: interactions sur le moral dans l'organisation, interactions sur la survie de l'entreprise...)
URI
http://hdl.handle.net/11143/13249
Collection
  • École de gestion – Mémoires [417]

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