Abstract
Cet article examine de quelle manière quelques journalistes et critiques canadiens-anglais
et québécois ont rapporté la parole d’Anne Hébert, principalement lors d’entretiens
réalisés chez elle à Paris au début de la décennie 1980 après qu’elle a obtenu un important prix
littéraire. Les interviews réalisées par l’écrivain Matt Cohen et Jean Royer, ainsi que par les journalistes
Ann Duncan et Marci McDonald, sont notamment examinées pour voir comment s’établit
le rapport avec l’écrivaine et comment ses propos sont relayés auprès du lectorat canadien-anglais
et québécois.