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dc.contributor.advisor[non identifié]
dc.contributor.authorBrazeau-Lamontagne, Lucie
dc.date.accessioned2017-07-24T17:46:25Z
dc.date.available2017-07-24T17:46:25Z
dc.date.created1993
dc.date.issued1993
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11143/10933
dc.description.abstractLe consentement éclairé fait partie intégrante des standards d'excellence recherchée dans la pratique médicale contemporaine. Depuis 1971, il est exigé explicitement dans la loi québécoise, au code civil'. Pour en arriver là, c'est au cours de la première moitié du XXe siècle qu'on l'a vu émergé comme une précision nécessaire à apporter lors d'une relation professionnelle médicale. Auparavant, on présumait du consentement du patient du seul fait de la bienfaisance du médecin qu'on considérait aller de soi. De nos jours, on ne nie peut-être pas la bienfaisance professionnelle médicale, mais on tient à mettre l'accent sur le caractère autonome de la personne du patient. Culturellement, cela revient à glisser peu à peu d'un modèle paternaliste vers un modèle autonomiste.
dc.language.isofre
dc.publisherUniversité de Sherbrooke
dc.rights© Lucie Brazeau-Lamontagne
dc.titleLe consentement éclairé ; à propos de la controverse sur les produits de contraste en radiologie au Québec
dc.typeMémoire
tme.degree.disciplinePhilosophie et éthique
tme.degree.grantorFaculté des lettres et sciences humaines
tme.degree.levelMaîtrise
tme.degree.nameM.A.


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