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Un efficace stratégique : de la notion de littérature fantastique comme agent de cohésion institutionnelle

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Landry_Francois_MA_1988.pdf (101.3Mb)
Date de publication
1988
Auteur(s)
Landry, François
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Résumé
La "littérature -fantastique". Voilà désignée l'une des plus notoires conventions littéraires de notre temps. Mythologie de la croyance. Vertigineux fantasme d'une possible coïncidence entre le signifiant et ce qu'il signifie. Je dis : "littérature fantastique". Il ne me reste, au pire, qu'à décrire la réalité du représentamen : un genre littéraire donné. Car si les régents de la littérature, plus particulièrement ses théoriciens, critiques et historiens, s'appliquent depuis Aristote à établir quelles sont les lois qui caractérisent l'écrit dit "littéraire", à codifier des lois qui lui assureraient supposément ou effectivement un caractère distinct du reste de la production écrite, c'est "l’ économie générique" qui s'est avérée la solution jusqu'ici la plus commode pour organiser et donc reconnaître le fait littéraire. L'idée qu'il existe des "genres" date aussi d'Aristote, qui le premier en formula une catégorisation esthétique probante. Il l'organisa, selon Genette, en deux grandes familles : le mode dramatique et le mode narratif. Cette division en genres fondamentaux devait se préciser peu à peu au cours des siècles et se cristalliser autour de la triade du dramatique, du lyrique et de l’épique, proposée par Diomède dès le 4e siècle de notre ère. Depuis, cette structure primaire a été réaménagée, décriée, remise à l'honneur, nuancée. En ce sens, Robert Scholes n'est guère plus avancé qu'Aristote lorsqu'il suggère que toute œuvre de fiction est réductible à trois tons fondamentaux : la satire, l'histoire, la romance, entre lesquels s'intercalent le picaresque, la comédie, le sentiment et la tragédie. Comme quoi l'ambition taxinomique n'est pas née avec l'empirisme. [...]
URI
http://hdl.handle.net/11143/10032
Collection
  • Lettres et sciences humaines – Mémoires [2383]

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